WATA – WATERDANCE

La poésie du WATA

WATA est l’abréviation de l’allemand « WasserTanzen » (danse aquatique). WATA est une technique dans laquelle le receveur (portant un pince-nez) est progressivement amené à retenir son souffle (apnée) sous l’eau dans une gravité tridimensionnelle.

Définition

Le WATA (ou WaterDance) est essentiellement une technique visant à amener à un état de relaxation profonde. C’est une « thérapie » qui utilise les propriétés curatives de l’eau chaude, ainsi que les effets calmants de la respiration fluide et de la respiration suspendue. Lors d’une séance, le corps du receveur est tout d’abord amené à la surface de l’eau et successivement déplacé, mobilisé, étiré et massé. Les tensions psychiques, les blocages d’origine émotionnelle et psychologique, peuvent s’adoucir ou même disparaître complètement.

À l’aide d’un pince-nez, le nez est bloqué et la personne est progressivement amenée sous l’eau dans un espace d’apesanteur tridimensionnel. Le toucher de l’eau, le travail sur la respiration, et la fluidité des mouvements dansants ont des effets apaisants. Le corps se détend. L’esprit se détend. Les émotions se calment. Le champ d’énergie s’expanse. Au fur et à mesure de la séance, le souffle est retenu pendant des périodes de plus en plus longues, selon les capacités de chacun. Une libération des mouvements dans l’eau s’ensuit naturellement, créant une forme de danse subaquatique. Une distorsion du temps et de l’espace peut se faire sentir et amener à un état de conscience modifié, à un sentiment de relaxation profonde. Des sensations de plaisir et de joie profondes en résultent également souvent. Ainsi, le WATA allie une allégresse avec fluidité et harmonie.

Le WATA partage des influences avec les mouvements de l’Aikido (art martial japonais), la grâce et l’agilité du ballet classique, et la liberté ondulée des dauphins. Le WATA engendre parfois une régression vers l’état du fœtus, notre lien avec l’énergie de la mère, l’immensité de la mer, jusqu’à la source même de la vie qui se cache à l’intérieur.

Les séquences sous l’eau et à la surface dépendent principalement de la capacité et du rythme respiratoire de chacun.

Le WATA a été créé par Aman Peter Schröter et Arjana C. Brunschwiler, tous deux d’origine suisse, en 1987).

Les origines

Dédié à l’eau de toutes les eaux
Le WATA m’a été donné comme une mission à accomplir. Cela n’a jamais été une décision personnelle de créer une nouvelle technique de thérapie aquatique. A l’époque, je n’étais même pas thérapeute et je n’aimais pas particulièrement être dans l’eau. Néanmoins, quand j’ai été mue et dansée par Aman Peter Schröter dans l’eau chaude d’un bain thermal, le WaterDance est né. C’était en 1987 et j’étais une jeune femme intéressée par la danse et la méditation. La beauté et la profondeur des deux fusionnaient naturellement et gracieusement dans le WATA. Je l’ai tellement aimé!

Comme toute grossesse, celle-ci a pris son temps pour mûrir. J’avais presque 28 ans et aucune expérience quand j’ai quitté la Suisse à la recherche du sens de la vie. Je suis allée en Thaïlande et en Inde pendant 9 mois. Je n’avais pas d’argent, je ne savais pas où aller ou quoi faire, mais je sentais un profond désir dans mon cœur, et je me suis sentie enveloppée par le grand mystère qui m’entourait dans ces pays profondément spirituels. J’ai pratiqué la médiation et le yoga, voyagé d’un lieu sacré à un autre, et lorsque je me suis baignée à la source du Gange sur le glacier Gangotri, j’ai promis à Dieu et à moi-même de ne jamais poursuivre de profession qui ne vibrerait pas avec le désir de mon cœur

Puis, je suis revenue dans mon pays natal. Je me sentais perdue dans cette société. Le choc culturel a été énorme, beaucoup plus grand que lorsque je l’avais quitté pour aller en Asie. Encore 9 mois se sont écoulés avant que j’entende parler de Harold Dull, le créateur du WATSU (WaterShiatsu). Il enseignait en Allemagne dans une communauté Sannyasin. Aman et moi y sommes allés pour voir ce qu’était cette technique, et cette forme très différente de thérapie aquatique m’a fascinée. A partir de là, les choses se sont enchaînées très rapidement.

J’ai senti l’appel d’aller à Harbin Hot Springs (Californie), le berceau du WATSU. J’ai étudié le massage, le shiatsu, le tantsu, le rééquilibrage énergétique, le travail des tissus profonds, et bien sûr le WATSU. Minakshi, l’une des premières assistantes d’Harold, est devenue ma sœur d’âme et ma professeure. Une nuit, j’ai donné secrètement une session de WATA à Minakshi. Excitée et enthousiasmée par la profondeur de cette expérience, elle m’a demandé de lui enseigner le WATA. C’est ainsi qu’elle est devenue ma première vraie élève! Aman et moi avions partagé le WATA auparavant en Suisse. Mais cette fois, c’était différent. Minakshi croyait fermement au grand cadeau que le WATA apporterait au monde.
Nous avons passé des semaines et des semaines dans les piscines chaudes, sous le ciel sombre de la nuit bleue, couverte de milliards d’étoiles. Les figuiers pleins de fruits répandaient leurs branches sur la piscine et nous ne nous fatiguions jamais d’ajuster les positions, les mouvements et les subtilités du WATSU et du WATA. C’était un moment magique! Le bébé WATA grandissait et se préparait pour de nouveaux étudiants.

Les années les plus excitantes ont suivi, enseignant le WATA à Harbin Hot Springs année après année. Dans le même temps, Aman Peter Schröter, Helen Schulz, Shanti Petschel et moi-même avons créé deux instituts d’enseignement du WATSU et du WATA en Suisse et en Allemagne. Les IAKAs* étaient nés! Les formations incluaient la thérapie corporelle dans l’eau et sur terre, invitant les élèves à explorer la respiration profonde, la méditation, la communication et les processus émotionnels. Les classes étaient pleines, parfois avec plus de 20 élèves et un grand nombre d’assistants ! Le WATSU et le WATA étaient les deux pionniers de la thérapie aquatique !

* IAKA signifie en allemand « Institute für Aquatische Körperarbeit ».

L’ÉCLOSION DU WATA
Encore jeune femme, j’ai connu Harbin Hot Springs comme le plus beau paradis sur terre! Un endroit merveilleux, passionnant, paisible et intéressant pour passer des semaines et des mois, baignée dans les eaux de guérison, regardant de belles collines vertes et ondulantes, bénéficiant d’une alimentation bio saine, dansant à s’étourdir le vendredi soir dans le hall de conférence, profitant de magnifiques soins sur terre et dans l’eau, et se laissant simplement porter et remplir par l’énergie de ce lieu. On m’a dit que les populations autochtones ont utilisé les sources thermales pendant des siècles et j’ai certainement pensé que cette station était un lieu vraiment nourrissant.

Harbin Hot Springs accueillait l’école de Shiatsu et de thérapie aquatique de Harold Dull. Le WATSU est né en 1980 lorsque Harold a commencé à flotter des gens dans la piscine chaude tout en appliquant les étirements et les principes du Shiatsu. J’étais fascinée par le fait que cette thérapie aquatique en eau chaude était déjà enseignée à cette époque à des centaines d’étudiants venant du monde entier pour devenir des thérapeutes aquatiques professionnels et certifiés.

Je n’oublierai jamais ma première séance de WATA que j’ai donné dans l’une des piscines en plein jour. Les gens se sont rassemblés, perplexes, fascinés, attirés et curieux. Amener quelqu’un sous l’eau n’avait jamais été vu auparavant! C’était une totale nouveauté et tout le monde voulait l’essayer. J’étais encore une jeune femme, pas trop sûre d’elle-même et n’aurais jamais pensé que quelqu’un serait intéressé d’étudier le WATA avec moi. Mais c’était exactement ce que la vie attendait de moi.

En regardant en arrière, je vois que le monde et les gens étaient prêts à utiliser l’eau chaude de manière différente pour guérir leurs corps, leurs émotions et leurs âmes. Cela a été comme une grande vague à partir de Harbin Hot Springs qui s’est ensuite répandue sur la Planète bleue. La vie m’a amenée à cette place magique dans ces premières années, afin que je puisse rencontrer les personnes les plus étonnantes afin de m’aider à donner naissance au WATA.

Je ne peux que deviner pourquoi ces nouvelles formes de thérapie aquatique en eau chaude ont eu tant de succès des années 1980, 1990 et 2000. Il s’agissait d’une nouvelle approche complète de la thérapie, du travail corporel, et du travail de guérison, dans la mesure où le client était tenu de façon plus intime et plus proche du corps du praticien. Harold parle beaucoup de l’effet de liaison du WATSU. Le client est tenu comme il ne l’avait pas été depuis son enfance. Une connexion naturelle de cœur à cœur se produit. Les vieilles blessures ou les traumatismes des premiers temps peuvent être soignés d’une manière très simple et tendre. Je voudrais mentionner que cet effet de liaison et de guérison ne se passe pas seulement pour le receveur, mais aussi pour le donneur. Combien de fois n’ai-je pas quitté la piscine après avoir donné une séance de WATSU ou WATA, en me sentant guérie, rafraîchie et touchée au plus profond de mon cœur.

Le WATA est une forme plus « libérée » de la thérapie aquatique, car l’effet de liaison se produit moins au niveau physique et du cœur entre le praticien et le client. Les receveurs parlent souvent d’une fusion avec l’eau. Ils décrivent qu’ils se sentent devenir un avec tout ce qui les entoure. Le corps physique semble s’expanser et se transformer en énergie pure. Certaines personnes observent que leur champ d’énergie s’étend à l’infini et ils se voient parfois flotter dans l’univers ou dans le ventre de leur mère. Le fait de retenir le souffle sous l’eau (kumbhaka ou apnée) invite l’esprit à l’immobilité et à la paix. Lorsque l’agitation de l’esprit se calme, nous pouvons avoir un aperçu de ce que nous sommes vraiment: des systèmes d’énergie vibrant au-delà du temps et de l’espace, résonnant avec Tout ce qui est.

Une technique corporelle énergétique

En appliquant différents points de levier, le praticien mobilise les principales articulations du corps, ce qui libère des tensions physiques et émotionnelles. Le WATA peut provoquer un décalage spatiotemporel, à partir duquel des états de conscience modifiés et un sentiment de paix et de silence peuvent émerger. Des impressions de plaisir et de joie apparaissent souvent.

Les receveurs font l’expérience de moments de relaxation profonde et même de méditation. Ils peuvent également vivre des états régressifs, permettant aux anciennes blessuresde pouvoir être prises en charge dans un cadre sécure. En ce sens, le WATA est une technique corporelle énergique unissant la danse, la fluidité, l’harmonie et la thérapie.

Le WATA est ouvert à tous ceux qui osent être guidés sous l’eau, s’abandonner aux jeux de la respiration et à la joie de danser en apesanteur sous l’eau.

WaterDance – La dernière vidéo YouTube avec Arjana
(Été 2013 – 4 minutes)

A propos de fluidité

La vie apporte continuellement tant de changements à nos corps physiques que nous avons parfois du mal à suivre. Nous nous sentons ébranlés et effrayés, nous essayons de nous accrocher à ce à quoi nous sommes habitués. Nous avons peu confiance en les hauts et les bas de la Vie. Nous sautons dans le flot de la marée et résistons avec terreur à son flux et reflux. Après une grande crise, nous nous installons dans la nouvelle condition des choses et nous nous ajustons. Nous sommes sûrs que la nouvelle situation sera installée pour l’éternité, jusqu’à ce que notre univers personnel se réinvente à nouveau. Ce processus naturel est sans fin, implacable et fascinant. Mais il est également épuisant, car nous plongeons profondément dans la crainte que le futur encore inconnu soit inférieur au présent. Nous résistons et insistons sur la permanence et la durée.
Certains d’entre nous croient et font l’expérience du principe spirituel selon lequel la matière physique est l’aspect le plus dense, le moins important et le moins fiable de la vie, car elle change et meurt en permanence. Mais à quel point serons-nous flexibles et adaptables lorsque le destin enlèvera ce que nous pensions nous appartenir ? Pas étonnant que nous nous plaignions de douleurs musculaires et articulaires. Alors que nous semblons nous raidir avec l’âge, le corps reflète simplement notre état d’être émotif et mental.

Pourtant, n’est-ce pas incroyable combien le monde physique est réel et fluide? Rien de ce qui semble solide l’est. Tout se précipite dans une autre forme, même en béton, même en pierre. Notre corps humain est constitué de 70% d’eau. Le cerveau et le cœur sont composés de 73% d’eau, les poumons de 83%. La peau contient 64% d’eau, les muscles et les reins de 79%. Même les os sont constitués de 31% d’eau. Au cœur de nos cellules, nous faisons quotidiennement l’expérience de la fluidité de la Vie. Aussi, si nous partons du principe que l’architecture du corps humain est basée sur un processus évolutif d’origine océanique, nous comprenons pourquoi nos larmes et notre sueur contiennent de l’eau salée. Même en tant qu’embryon, nous évoluons pendant 9 mois dans le liquide amniotique salé, flottant comme de petites créatures marines dans notre environnement océanique privé. Cela ne signifie-t-il pas que nous portons tous dans nos corps une mer intérieure que nous pouvons activer et stimuler?
En ce sens, le WATA est un art mouvant et dansant qui propose l’exploration et la stimulation de notre fluidité et non-résistance naturelle dans le corps physique. Le WATA est un travail corporel et une danse aquatique utilisant la respiration, l’apnée, le mouvement et l’étreinte continue et entière de l’eau tiède. Cela réactive les cellules de notre corps, leur rappelant leur capacité innée de fluidité et.

Le fait que nous soyons quasiment en apesanteur dans l’eau offre un soutien supplémentaire pour laisser aller les tensions physiques et émotionnelles, ainsi que les schémas et croyances limitantes. Dans le WATA, de nombreuses séquences sont basées sur des mouvements en spirale, ondulation ou serpentine, qui stimulent la flexibilité et le flux d’énergie dans la colonne vertébrale, et donc dans les chakras. Les réceveurs décrivent des sensations d’expansion et de présence au-delà de la limite de leur peau. Certains parlent d’une augmentation de l’énergie Kundalini ou Prana, le carburant qui maintient les corps subtils activés. D’autres perçoivent des couleurs vives, telles que des nuances de bleu, violet, vert, rouge et jaune. D’autres encore décrivent des états profonds de la méditation dans un lieu silencieux, sans pensées, où seule la Lumière a sa place. En tous les cas, les receveurs connaissent généralement une augmentation de leur énergie, de leur joie et de leur calme intérieur.

Si l’atmosphère d’une séance est portée par le flux de la Conscience, de la Sensibilité et de la Maîtrise, le destinataire et le donneur peuvent tous les deux voyager au-delà de l’espace-temps habituel, où de tels états de conscience modifiés apportent une approche différente de la vie, plus fluide et plus créative…

L’histoire d’une séance

Debout, face à face, dans un bassin d’eau chaude baigné de lumière, nous fermons les yeux.

Soudain, notre attention est attirée vers l’intérieur et nous sommes confrontés à un autre type de sens: au contact de la peau, le toucher devient le plus important. Avec chaque respiration et au moindre mouvement, l’eau circule autour de notre corps dans une caresse aimante. C’est comme si cette touche merveilleuse nous amenait aux portes mêmes de « l’Être ».

Ensemble, nous respirons: lentement, profondément et consciemment comme deux instruments de musique finement réglés. Pas de précipitation. La respiration est restaurée dans son lieu fondamental, le souffle du Divin, l’Essence du Grand Tout. Ce solide lien de confiance profonde, qui doit être créé, est maintenant tissé. Je respire avec l’autre; J’accueille son rythme. Je la comprend alors que nos corps s’entrelacent, car nos souffles deviennent un. Elle me guide et je me permets d’être guidée à mesure que je me détourne de mon égo. Personne n’observe, il n’y a que l’observé. Personne ne ressent, il n’y a que le ressenti. Ici est le vide et la plénitude du vide.

A présent, l’autre peut lâcher prise, tenu dans mes bras, soutenu par l’eau, flottant dans l’Univers. S’il parvient à connecter cela instinctivement et se le permet, alors il devient un microcosme de l’Univers, l’Universel toujours présent dans l’être de chacun – Une goutte de Conscience dans le grand océan de la Conscience Suprême. Tout est un! Nous respirons comme un seul, synchronisés, allant et venant, unis par le souffle de l’Univers.

Je suis simplement là, pleinement attentive. Rien ne passe inaperçu: chaque sensation du corps, chaque sensation, chaque mouvement, chaque son. J’accueille tout. Je m’accompagne. J’accompagne l’autre, dans cet instant, avec tous mes sens: mes mains, mon corps, mon esprit sont au service. Chaque moment révèle son énergie et avec elle sa lumière, son amour et sa Conscience divine… Rien à chercher, rien à attendre. Tout est ici et maintenant.

Elle me permet de l’amener sous l’eau, là où il n’est plus possible de respirer normalement. Je l’aide à se connecter à sa confiance originelle, en la guidant délicatement et intuitivement sous l’eau, puis à la surface, dans un rythme naturel suivant ses besoins. On lui montre qu’ici, dans cette eau, dans mes bras, le monde est rassurant. Ce petit univers englobe dans le Grand est, à tout moment, soutenant et inspirant la confiance. Une relation de guérison sacrée peut être créée.

Elle commence maintenant à s’adapter à la création de mes mouvements; ondulations, spirales, serpentines. Cette danse alterne entre lenteur intemporelle et accélération, portée par le fil de fluidité. La semence du changement, du lâcher prise, de l’expansion commence à germer. L’esprit s’ouvre. L’énergie agit de son propre chef. La mémoire cellulaire est activée. L’âme revient à son état original de paix, de simplicité, dans le moment présent.

Comme une musique composée de sons qui s’élèvent et descendent, qui vibrent et résonnent, nous composons notre propre musique. Nos deux qualités de corps, d’esprit et d’âme dansent leur danse unique qui ne peut fleurir que dans l’unicité du moment.

Dans le cycle des mouvements nés dans l’immense profondeur de deux âmes qui dansent en harmonie, le calme s’installe progressivement, prenant sa place. Nous sommes totalement ouverts et nus dans notre être, touchés à l’intérieur comme à l’extérieur par les beaux voiles de l’eau. Nous sommes complètement protégés dans les bras tendres et rassurants du ventre aquatique. Toute dureté dans notre être est dissoute. Le rigide et le fixe, la densité et les angles aigus se transforment en joie et douceur.

La danse a trouvé sa fin naturellement. Nous nous regardons profondément les yeux dans les yeux. Le sentiment dans nos âmes, aussi bien que dans nos regards, est modifié. En nous guérissant, nous guérissons le monde. Vous et moi, une partie du Grand Tout sur notre chemin sacré dans la Lumière et la Beauté.

Chaque séance de WATA suit ses propres rythmes, ses propres codes. Ce qui est décrit ci-dessus est souvent rapporté et exprimé après une séance. Il va sans dire qu’il y a parfois des larmes, des sensations douloureuses, des peurs et d’autres émotions qui viennent à la surface. Tout cela fait partie du chemin de la guérison et de la libération des blessures et des douleurs anciennes que chacun porte dans son être profond.

Lorsque le WATA est pratiqué avec conscience et sensibilité, il offre une opportunité magnifique de vivre des états d’abandon sans entrer dans la passivité ou l’activité contrôlée. Aussi bien le donneur que le receveur peuvent, ensemble, célébrer un « lâcher prise » dans le moment présent, en paix avec ce qui est.

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